
Au début de la période de confinement, le 17 mars dernier, seuls les commerces de première nécessité étaient autorisés à rester ouverts. De ce fait, les fleuristes, jardineries et pépiniéristes se sont retrouvés du jour au lendemain dans l’incapacité de vendre leurs marchandises. Jusqu’au 1er avril, ils ne pouvaient vendre que de la nourriture pour
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